Sujet: # Jax. Parlons sérieusement. Ven 30 Oct - 16:01
- J’peux pas v’nir, au cours de l’autre moustachu. - Ah… Mais, s’il me demande ou tu es ? - Dis lui que j’me suis fait manger par des gobelins affamés. »
Dans un soupir las, Kirsten secoua la tête. Elle en avait entendu, des bonnes raisons, qui poussaient Alice (bien malgré elle, bien sûr) à ne pas venir aux cours mais, sûrement, celle-ci était la meilleure. On avait indéniablement atteint l’apogée du culot. On en avait entendu, des sottises de la part de la brunette ; on était déjà passé par le « J’ai posé ma feuille dans l’arbre, un centaure en est tombé amoureux, il n’a pas voulu me la rendre » (au professeur de soins aux créatures magiques) jusqu’au « Un mage noir m’a écrasé avec son tapis volant, alors que j’allais à votre cours, voilà la raison de mon absence. » (au professeur de défense contre les forces du mal), en passant par le traditionnel « On m’a transformé en crapaud, j’ai attendu toute la nuit qu’on m’embrasse pour redevenir humaine. J’n’ai donc pas eu l’occasion de faire les six parchemins. » (au professeur de métamorphose). En clair, l’Appleshwift, elle n’était pas un modèle à suivre, elle ne s’en ventait pas et, ne cherchait pas à changer son statut de pitre-culotté-hautain-et-prétentieux auprès de ses professeurs, bien qu’elle en eût maintes fois l’occasion. Elle n’en avait que faire et, définissait allègrement les études comme une perte de temps considérable & rétorquait inlassablement qu’il n’y avait qu’à voir les idiots à la tête du ministère de la magie ou encore son professeur de potions pour finalement se rendre compte que, même les crétins les plus absolus arrivaient à quelque chose. Il lui semblait que, de rater une heure d’histoire de la magie pour Jax n’était pas une mauvaise idée. Non pas que les cours d’Histoire de la Magie ne soient pas intéressants (enfin, si), seulement que, Alice aurait à peu près tout fait – dans la mesure du possible – pour parler à Boyde, en ces temps qu’elle qualifiait « de crise », oui, les deux serpentards devaient se parler et, Alice se réjouissait intérieurement de la missive qu’elle avait reçu la veille. « Apple doit ramener son balai à 14h, à l’habituel». Non, rien en rapport avec une pomme ici et, rien qui ne traite d’un prêt d’un quelconque balai ou, d’un match de quiddicht. Seulement Boyde qui – sûrement pour son plaisir personnel- parlait en message codé, ce qu’Appleshwift n’avait jamais réellement comprit. A cette question, Jax répondait simplement « On n’sait jamais dans quelles mains ces p’tits messages peuvent tomber» sur un ton méfiant, en faisant mine de regarder autour de lui. Dans notre langage commun, ce genre de messages - incompréhensibles pour certains - signifiaient simplement pour Alice qu’elle avait rendez-vous avec Jax, à deux heures de l’après midi, près du lac (l’endroit de rendez-vous dit habituel). Kirsten, qui n’avait toujours pas daigné sortir de la chambre, reprit :
- Tu vas voir Jax… ? J’pourrais p’têtre t’accompagner. Finalement, j’ai pas envie d’aller en cours non plus. - Woh woh woh. On se calme là. Il t’intéresse, c’est ça ? Non mais, t’es complètement tarée ma grande. - Non mais… - Ouais mais nan, va plutôt en cours. Tu m’fileras les devoirs.
Kirsten décida de se faire petite et, de ne plus rien tenter. Puis, d’un pas pressé, elle sortit du dortoir, sentant le regard pesant d’Alice sur elle. On n’était pas à la foire ici et, non, Jax n’était pas le gros lot à la clé. Toutes ces filles, lui tournant autour semblaient se multiplier sévèrement en ces jours froids de l’année. Elles se rependaient à une vitesse incroyable et, on arrivait même à en trouver pour tous les gouts, on passait de la première année boutonneuse et studieuse à la septième année belle & rebelle. Absolument in-cro-ya-ble. Sûrement certains hommes auraient été euphoriques à la vue de toutes ces filles et, auraient choisit avec soin leur douce parmi toutes les prétendantes. Mais Jax, lui, il se fichait pas mal de cet amas de sombres idiotes et, honnêtement, il les prenait toutes. C’était un peu comme le bad boy beau & hautain. Ah ! A bas les stéréotypes. Depuis sa rupture avec Jussron, Jax, pour Alice n’était qu’un crétin arrogant et prétentieux (mais, elle l’aimait quand même et, bien plus que tous les autres) et, voyait toutes ces filles comme des sombres crétines qui la rendait folle et qui la mettait de mauvaise humeur en plus. Et justement ! C’était exactement de ça qu’Alice allait parler avec Jax. Oui, c’était un sujet plutôt douloureux et, qui avait le don de fâcher mais, peu importait, tout ce petit manège devait cesser & vite. Alice l’avait décidé, pas plus tard qu’hier. Alors, elle devait absolument être ponctuelle C’était nécessaire. Arriver en retard pour ensuite oser se plaindre, je cite, « c’est la loose assuré ». Rapidement donc, elle fit volte face, se retrouva face au miroir et, se jaugea, d’un air las. Puis, en une demie seconde, elle attrapa les quelques cheveux rebelles de sa tignasse brune et, les remit en place, dans son chignon. Enfin, &, tout aussi rapidement, elle s’habilla. Prenant tout de même soin d’accorder chaque couleur avec l’autre. Paraitre négligée ? Alice détestait ça, encore plus même, que les gamineries de Jax. (Imaginez donc à quel point elle haïssait cela).
D’un pas nonchalant, la brune sortit de la salle commune, et, traversa les couloirs. Tout était absolument désert. Ah oui c’est vrai, ils étaient en cours. Alice ne put s’empêcher de rire. Elle aimait dépasser les limites, un jour sûrement, toutes ces « conneries d’adolescent » (comme disait son père), la mèneraient à sa propre perte. Mais, pour l’instant, Alice n’en avait absolument rien à faire, elle était de ce genre de personnes, qui vivent au jour le jour, et, qui se fichent de tous les problèmes qu’ils peuvent causer (autant aux autres, qu’à eux même). Ouais, Alice, c’était un peu le genre de personnes qu’il ne fallait pas qu’on rencontre, sous aucun prétexte, parce que, souvent, après avoir été collé 2h, tous les jours et, pendant un mois à cause d’une de ses pitreries, on le regrettait. Enfin. Alice continua de marcher dans les couloirs, d’un pas furtif (eh oui, comme expliquer au concierge sa présence dans les couloirs à cette heure-ci ?) jusqu’à arriver à l’extérieur. Un frisson ne put s’empêcher de traverser son corps tout entier. L’hiver arrivait et, le vent froid caressait les pommettes rosées d’Alice. Elle avança encore, quelques mètres, jusqu'à l’habituel. Jax y était, debout, et adossé à un arbre, à défaut de pouvoir s’assoir dans l’herbe humide. Alice s’en approcha et, déposa un baiser sur sa joue. Elle le regarda, attendant le moment propice pour pouvoir lui parler. Enfin, elle lâcha ;
- Boyde, tu m’as manqué ! Mais, ne t’habitues pas trop à c’genre de paroles venant de ma part. C’est juste que, ça fait quand même une semaine qu’on n’s’est pas vu alors bon. T’étais occupé ailleurs ? Ah, ne m’dis pas, tes groupies t’ont enfermées dans leur chambre ? Ca devait être la joie là d’dans.
Puis, sans attendre aucune réponse de la part de Jax, elle continua. Au fait, on m’a dit que, t’avais des vues sur une fille. Enfin, plus précisément sur Sycée. C’est une blague ?
Si ca n’en était pas une, il était clair qu’on avait atteint le niveau 98 sur l’échelle de la connerie. Encore une stupidité de ce genre et, on exploserait tous les records. Alice soupira croisa les bras, dans l’attente d’une réponse, espérant, dans son fort intérieur que, tout cela n’était qu’une des centaines de rumeurs que les ignorants de Poudlard lançaient, dans leur seul intérêt. Aussi pitoyable que cela pouvait paraitre, Poudlard, c’était comme ça. & D’habitude, Alice ne se préoccupait pas de ce ragots mais, celui-ci avait attisé sa curiosité. Parce que Jax en était l’acteur principal mais, aussi parce que Sycée en faisait partie. Sycée & Jax, dans un même sujet ? Comment cela pouvait être possible ? La jeune innocente & pure comme personne avec le dépravé serpentard? Alice arqua les sourcils de plus belle.
R. Jax BoydeBLOODPRINCE ▬ i can be your beautiful nightmare.
Sujet: Re: # Jax. Parlons sérieusement. Ven 27 Nov - 22:09
HJ : DSL POUR TOUT CE TEMPS.
Un touffe rousse, c'était tout ce que voyait Jax à ce moment là. Merde à qui appartenait-elle ? Il fit rapidement le tour du propriétaire et il vit avec soulagement que c'était une inconnue et qu'en plus il était bel et bien dans son dortoir. Il s'adossa contre le lit et s'alluma une clope, qui l'aiderait surement à réfléchir à la meilleure façon de virer cette fille, en douceur de préférence car il allait passer un mauvais quart d'heure s'il osait réveiller son meilleur ami, Knox. Il passa sa main dans ses cheveux et soupira devant la tâche qui s'annonçait cauchemardesque et beaucoup trop difficile à surmonter quand on a dans la tête une centaine d'hyppogriffe entrain de danser la java, en gros la gueule de bois. Il examina la jeune fille à côté de lui, au moins elle était belle en dormant mais il se doutait bien que dès le réveil et les douces paroles qu'il allait dire, son visage se verrai enlaidit par la colère et elle se transformerait en harpie comme toutes les autres. Il ne savait pas comment la réveiller, si ça n'avait tenu qu'à lui il l'aurait poussé du lit pour qu'elle tombe mais il aurait eu droit à un concert de cris stridents qui lui aurait valu une bonne raclée de la part de son grincheux de meilleur pote, il préférait donc éviter. Il sentit soudain un mouvement qui le tira de sa rêverie et quand il regarda la créature dans son lit il découvrit une paire de bille verte, plutôt pas mal, il avait tiré le bon lot hier soir. Elle lui balança un sourire tendre et il grimaça en retour, se doutant bien qu'elle serait moins tendre dans quelques minutes. Elle se mit à sa hauteur, le drap glissant et dénudant sa poitrine nue. Cette vision aurai fait baver d'envie le premier venu mais pas Jax, il n'aimait pas le réchauffé et cette poitrine il avait eu le loisir de l'explorer en détail il y a à peine quelques heures. Elle déposa un bref baiser sur sa joue et voulu continuer vers son cou mais il se dégagea assez brusquement, il n'aimait pas ce genre de familiarité. Elle lui lança un regard surpris, elle s'attendait sans doute à ce qu'il remette le couvert, elle avait enfin eu Jax dans ses filets, elle le convoitait depuis plusieurs mois maintenant. Elle lui avait fait un rentre dedans assez fort, mais avait résisté pour la forme, pour ne pas passer pour une fille facile au moment où il avait glissé sa main sous sa jupe. Jax connaissait très bien ce genre de fille, elles chauffaient les mecs mais au moment de passer à la casserole, il n'y avait plus personne. Mais elle n'avait pas résisté bien longtemps une fois qu'il avait mis à mal ses défenses. Il savait distiller le plaisir comme personne. Elle avait comme toutes les autres finit pas céder et elle avait subi sa fureur et son envie plusieurs fois dans la nuit.
"euh...Jax, hum je voulais dire hum enfin..." "Abrèges." "Et bien, je me demandais, si...enfin tu vois...j'ai beaucoup aimé ce qu'il s'est passé entre nous et tu vois j'ai ressentit un truc fort, je pense que tu l'as ressentit aussi. Et je me demandais si tu voulais qu'on se revoit, enfin tu vois ailleurs que dans une chambre...?"
Et voilà, nous y sommes, la déclaration, une étape obligatoire que toutes les filles se sentaient obligées de lui délivrer chaque matin. Puis après ça, les larmes. Il regarda son visage dans l'attente, ces petites yeux remplis plein d'espoir. Et puis soudain il eût un flash, il se revit lui, il y a 3 ans, le même regards, les mêmes espoirs. Cette vision le remplit de colère et il sentit le sang bouillir dans ses veines. Tant pis, il subirait les remontrances de Knox, il avait l'habitude. Il lança à la jeune fille dont il ignorait le nom un regard mauvais et elle se tassa, ne comprenant pas encore le sort qu'il lui réservait.
"Déjà, qu'est c'qui te permet d'affirmer que j'ai ressentit un truc fort comme tu le dis ? Est c'que tu t'crois dans un putain de conte de fée ? J'suis pas ton prince charmant okay. On a baisé, c'était pas mal, quoiqu'entre nous j'ai connu mieux, mais c'est tout. Alors me fait pass tes yeux de chiens battus. Tu savais très bien qu'entre nous ça s'rai qu'une seule nuit alors fait pas l'étonné. Maintenant j'aimerais beaucoup que tu m'fasses le plaisir de t'barrer en vitesse."
BAFFFF, la claque. Il avait l'habitude de ça. Il l'avait vu venir d'ailleurs mais il l'avait laissé faire, au moins pour avoir une bonne raison d'être encore plus méchant. Pendant sa tirade il s'était levé, et avait enfilé un caleçon et il était en train de boutonner son jeans. La rousse s'entoura du drap et se planta en face de lui, les yeux mouillés de larmes et un air outré sur la figure, il l'a trouva pathétique à cet instant et la seule chose qu'il avait envie de faire c'était de lui rire au nez. Elle posa ses mains tremblante sur son torse chaud dans l'espoir de s'y blottir et de le repousser à la fois. Il frissonna, il n'aimait pas ses mains sur lui, pas les siennes.
"Pourquoi tu dis ça ? Pourquoi es-tu si méchant avec moi ? T'es vraiment un mec sans coeur. Et tu sais quoi j'ai menti, c'était nul et je vais le dire à tout l'monde, que Jax Boyde est un mauvais coup." "Mais je t'en pris va y, dis le à tout le monde, ça ne t'empêchera pas de venir ramper à mes pieds comme toutes les autres. T'es qu'une petite pute qui veut juste se faire troncher, le peu d'amour propre que t'as t'es entrain de le perdre. J'ai été gentils jusqu'à maintenant mais j'vais vite devenir très méchant si tu continus à pleurnicher comme ça. Alors maintenant remballe tes airs de jeune fille prude et outrée,tu penses qu'à une chose, que je recommence ce que j'ai fait toute la nuit, te faire jouir. Maintenant tu m'excuses mais j'ai autres choses à faire que de jouer les baby sitter d'une petite catin, alors CASSES-TOI !!"
Il fila dans la salle de bain sans demander son reste emportant une chemise avec lui et s'y enferma pour se préparer. Quand il sortie il tomba nez à nez avec un Knox en mode ours mal léché qui lui lâcha un grognement en pleine face. Il regarda plus loin et vit que la fille était partie laissant juste sur son mur écrit en rouge le mot "CONNARD". Il l'avait pas volé celui là. Il ne prit même pas le temps de l'effacer et partit en direction du lac, c'est là où il avait rendez-vous avec la seule femme qu'il pouvait supporter, sa meilleure amie, Maxyne. Cette bombe latine, il la connaissait depuis pas mal de temps et il n'avait jamais couché avec elle, pas qu'il n'en avait jamais eu envie mais il ne voulait pas tout gâcher. Même si parfois il devait avouer que voir son corps de liane sous ses yeux lui donner vraiment des envies peu avouables. Il attendit quelques longues minutes ruminant quelques remontrances à l'égard de la belle brune sur le fait d'être à l'heure. Soudain il la vit arriver, ravissante. Elle sautillait de sa démarche de lutin mais quelque chose dans son apparence la rendait plus dangereuse, plus féline. Quand elle fut devant lui elle claqua un bisou sur sa joue qu'il apprécia comme marque d'amitié. Elle était la seule qui pouvait se permettre de le toucher comme ça. Il avait du mal avec les contacts, surprenant venant de lui mais il n'aimait pas que quelqu'un lui montre trop d'affection. Elle le défia du regard un moment et partit comme à son habitude sur un monologue concernant son attitude, si seulement elle savait ce qu'il s'était passé à peine une heure plus tôt...
"Boyde, tu m'as manqué ! Mais, ne t'habitues pas trop à c'genre de paroles venant de ma part. C'est juste que, ça fait quand même une semaine qu'on n's'est pas vu alors bon. T'étais occupé ailleurs ? Ah, ne m'dis pas, tes groupies t'ont enfermées dans leur chambre ? Ca devait être la joie là d'dans. Au fait, on m'a dit que, t'avais des vues sur une fille. Enfin, plus précisément sur Sycée. C'est une blague ?" "Toi aussi Max tu m'as manqué, enfin plutôt ton silence me manque à c'moment là. Pour tout t'dire c'est vrai que j'étais un peu occupé, tu vois c'est dur les affaires en c'moment. Puis tu connais les filles, quand elles t'veulent elle te lâche pas d'si tôt. Pour Sycée t'es pas mal informé mais t'inquiète ça durera qu'un soir, faut bien que quelqu'un la décoince."
Il croisa le regard accusateur de Max, encore et toujours le même discourt. Il serra les points et tout son corps se crispa, c'est dans ses moments là qu'il avait envie de la secouer, de lui montrer à quel point il avait mal encore, à quel point sa blessure était toujours à vif. Il avait effacé son coeur, il avait relégué la blessure de son amour propre au fond d'un placard mais sa mémoire continuait de le tourmenter. Cette femme, cette harpie lui avait volé son innocence, son premier amour. Elles devaient payer, toutes. Ses paupières se fermèrent un bref instant pour empêcher les digues de céder. Son corps se mit à tremblait, il se mordait la lèvre pour essayer de retenir ceux ci, avec un succès mitigé. Il n'arrivait pas à croire qu'elle lui sortait encore ça, elle était au courant pourtant. Il lui avait tout dit, et "l'autre" aussi. Il ne supportait pas de les voir ensemble, c'était au-dessus de ses forces. A vrai dire c'était pour ça qu'il avait évité Max ces temps-ci. Elles étaient tout le temps fourrés ensemble comme des siamoises. Il avait donc pris du recul, ne se sentant pas la force d'affronter le regard de l'autre vipère. Il décrispa ses poings, se calmant légèrement et il lui lança un pauvre sourire d'excuse mais dans ses yeux, l'accusation était toujours présente ainsi que la colère. Mais Max était la seule à ne jamais subir son courroux, même si parfois il aurait bien aimer lui en coller une, pour échapper à ses yeux qui le montraient comme un coupable, le connard qui torturait les jeunes filles qui n'avaient rien demander. Il se demanda un instant si Max n'était pas au courant pour Victorine, qu'il baisait depuis quelques semaines, avec le consentement de la jeune fille même si celle-ci regrettait beaucoup après. Il la faisait en quelque sorte chanter. Et si elle savait aussi pour Gemma, la fille qu'il avait rejeté en douceur, la seule, il espérait que non.
"Désolé Max, tu sais que j'peux pas m'en empêcher. Elles m'allument, elles le veulent, faut pas qu'elles viennent s'plaindre après. Tu comprends comme moi que je ne fais que les satisfaire..."
# Jax. Parlons sérieusement.
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