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 Don't bring memories back. | Knox.

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Don't bring memories back. | Knox. Vide
MessageSujet: Don't bring memories back. | Knox.   Don't bring memories back. | Knox. EmptyMer 28 Oct - 4:33


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Don’t bring memories back .


    FLASHBACK

      MAMAN « Tu crois qu’elle perdra cette peur maladive? »

      PSYCHOLOGUE « Je ne sais pas encore. C’est difficile à dire. »


    La jeune brunette releva la tête vers les deux personnes qui se trouvaient près d’elles. Elles parlaient encore comme si elle ne pouvait les entendre. Sycée n’était pas sourde, mais les deux femmes ne pouvaient se retenir de faire de nombreux constats sur elle sans aucune gène. Cette psychologue était l’une des meilleures amies de sa mère, on comprend mieux pourquoi elle l’a forcé à aller la voir. Ça avait été leur dernière option, je veux dire aux parents de a blonde. Allan avait voulu ‘’guérir’’ sa fille par la magie, ils étaient allé voir bons nombres de sorciers mais aucun ne faisaient l’affaire. Bien entendu, la seule option qu’ils voyaient c’était de lui faire oublier cet incident, mais elle ne voulait pas et les crises qu’elle faisait lorsqu’Allan en parlait étaient assez immenses pour qu’ils ne veuillent plus la convaincre. Sa mère avait alors eut l’idée d’y aller avec quelque chose de plus soft mais qui marchait très bien dans le monde moldu. En dernier espoir, Allan avait décidé d’accepter les demandes incessantes d’Ophélie ne trouvant plus rien à redire. Ainsi, depuis maintenant un long mois, la jeune sorcière rencontrait la psychologue deux fois par semaines et il fallait dire qu’il n’y avait aucun avancement. Elles avaient raison, mais la blonde s’en foutait totalement. Moins qu’elles en parlent juste devant elle soit dit en passant hélas elles n’en comprenaient pas l’enjeu. Parler de la tragédie ne lui faisait pas de bien et pas de mal, mais elle faisait tout simplement ce qu’on lui demandait comme un petit chien soumit. Elle était réellement renfermée, ça il n’y avait rien à dire là-dessus mais la raison à cela était tout à fait simple; November ne voulait pas changer. Elle ne voulait pas aller mieux, non, pas tant qu’elle aurait retrouvé confiance à ces êtres qu’on appelait les hommes. Et avec les gens qu’il y avait sur cette terre, ça risquait d’être long. Espérons seulement qu’un ‘entre eux saurait la guérir, le plus tôt serait le mieux croyez-moi. Ophélie laissa une nouvelle fois sa fille, seule avec la psychologue pour leur séance d’une heure habituelle. Elle était fatiguée et exténuée, elle n’avait pas envie de passer une belle heure simplement pour faire plaisir à sa mère. Comment avait-elle pût être enfermée dans un cercle aussi vicieux de celui d’écouter sans rechigner ce que ces parents voulaient d’elle?

      PSYCHOLOGUE « Alors Sycée, est-ce que tu te sens mieux depuis notre dernière rencontre? »

      ELLE « Je... Oui. Je crois. J’ai répondu à un ancien ami avant-hier.»

      PSYCHOLOGUE « Oh oui. C’est une très bonne nouvelle. »


    Mentir. Il valait mieux mentir. Faire plaisir à ses parents. Il ne lui restait plus qu’une semaine avant qu’elle ne commence sa cinquième année. Une semaine avant d’être tranquille et de pourvoir être seule comme elle le souhaitait.

    FIN DU FLASHBACK

    Un an était passé depuis l’accident. Une longue année et quelques jours près. Sycée se réjouissait toujours lorsqu'elle pouvait retourner à Poudlard après les vacances d'été. C’était une façon tellement facile de rester à l’écart de ses parents un peu plus longtemps. Elle passait le plis clair de son temps à étudier, même si les cours venaient juste de reprendre. Sycée se sentait néanmoins bien plus à l’aise avec les gens qu’elle connaissait et elle avait l’impression qu’elle pouvait se lâcher car elle avait confiance en eux. Qui plus est, elle aurait la tête remplie de bonnes choses, avec des bonnes personnes pour ne plus trop penser aux anciens souvenirs. Elle était moins sociale qu’avant, mais pas vraiment avec ses amis et la raison était simple. Il ne fallait pas oublier que c’était la brune qui refusait de guérir, mais avec ses amis elle se permettait de leur faire plaisir en leur montrant qu’elle les aimait vraiment. Après tout, son nom de famille signifiait qu’elle avait une grosse chance de s’en sortir. Il fallait juste trouver les bonnes personnes pour accomplir les faits.

    Les cheveux au vent, la serdaigle était aux abords de la forêt interdite, se fichant royalement des créatures qui pouvaient y roder. Après tout, elle n’était qu’à une dizaines de mètre des sous-bois alors elle n’était pas vraiment en plein danger. Assise sur une roche, elle écoutait le vent et les bestioles qui se trouvaient dans cette grande forêt, à l’affut de choses intéressantes. Elle avait décidé de se rendre à cet endroit dans le but de... De quoi déjà? Bon d’accord, au départ elle était sensé allée se baigner au lac, aller rejoindre Annabeth qui devait désormais de faire un sang d’encre à son sujet. Toujours plus dans son monde, la forêt l’avait appelée par on ne sait quel moyen. Malgré la chaleur pesant de l’après-midi, elle avait décidé de passer la baignade et de se rendre directement un peu plus à l’ombre dans la forêt. Elle était peureuse. Oui, ça il n’y avait aucuns doutes là-dessus mais par Merlin qu’elle appréciait cette sensation qui sévissait au fin fond de son être. La peur d’être attaquée par quelque chose de plus ou moins gros, la peur de ne pouvoir revenir au château sans une égratignure, la simple peur de se trouver dans un endroit aussi sombre alors que le soleil effusait sa chaleur par-dessus les feuilles. Cette sensation qui faisait tournoyer une centaine de petits papillons dans son ventre. Celle qui lui donnait l’impression d’être normale, d’être comme toutes les autres personnes de l’école. Son visage montrait une impassibilité hors du commun, tandis qu’elle fixait on ne sait quel point à travers les arbres. Tout d’un cou, une branche craqua derrière elle. Elle se retourna vivement vers la provenance du bruit, un grand sourire aux lèvres, sourire quasiment sadique. Par contre, lorsqu’elle rencontra le regard de l’être qui avait apparu, son sourire s’évanouit aussitôt.
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Knox W. Petersen
ROCK'N'ROLL KING • did you say ... arrogant
Knox W. Petersen

PARCHEMINS : 445
ADMISSION : 10/10/2009
AGE : 30
LOCALISATION : BEHIND MY WORLD
PSEUDO : GHOSTWHISP
CURRENT MOOD : LIKE A PUMPKIN


RAPPELTOUT
CARNET ADRESSES:
ANNEE: SEVENTH YEAR
MAISON: SLYTHERIN

Don't bring memories back. | Knox. Vide
MessageSujet: Re: Don't bring memories back. | Knox.   Don't bring memories back. | Knox. EmptySam 31 Oct - 2:26

    « Encore plus machiavélique qu'il n'est séduisant. Il n'a jamais proféré une seule parole sans quelques projets malhonnêtes. De toutes celles qu'il a conquise, il n'en est pas qui eût à s'en plaindre. Fuyez-le à tout prix. »


    Souffrance. Regret. Trahison. Ces mots sonnaient tels des cloches dans la tête de Knox. Depuis un moment maintenant il repensait à sa mère. Sa mère. Morte. Cela se produisait chaque années, au moment de l’anniversaire de sa mort. Alors Knox devenait invivable et plus taciturne que jamais. Pourtant il n’était pas du genre à s’enfermer mais les débuts d’années n’étaient pas ses moments où il aimait être dehors. Quand il débutait l’année, il aimait rester seul à lire, à écrire dans son journal ou à ne rien faire, à dormir ou regarder le plafond de sa chambre tout simplement. Mais rester tout le temps là, comme un vulgaire gamin, à se morfondre était un peu lassant à la fin. Tellement en réalité. Il trouvait cela pathétique et sans intérêt. Mais à présent, pour puiser son énergie et déverser sa colère, son immense amertume, il écrivait dans son journal. Dès la mort de sa mère, il avait commencé un journal. Un journal dont les pages étaient noircies d’idées de meurtre de son père, d’idées de sacrifice loyal. Pourtant Knox n’était pas quelqu’un de loyal, loin de là. Il était tout le contraire. Lâche. Il l’était tellement après tout. Lâche et sans intérêt pour certain. Mais pour le moment il ne s’occupait même pas de se à quoi il pensait. Il écrivait juste.

    Extrait du journal de K. Petersen. Cinq septembre.

    « Je ne sais que quoi penser de mes actes, de mes pensées. Je souffle le chaud et le froid tout le temps. Je deviens tellement taciturne qu’il m’arrive d’en devenir invivable, Jax me l’a dit. Mais je n’y peux rien. Cette période de l’année me fait perdre tout contrôle. Elle me manque. Et si elle pouvait revenir ? Pourquoi ne pas m’accorder ceci ? »


    Si quelqu’un venait à découvrir ce journal, sa réputation serait à jamais compromise. Mais après tout il s’en fichait. Il n’avait jamais donné de significatif au pronom « elle ». Cela pourrait être n’importe qui; Car seule une personne savait que sa mère était morte. Et cette personne n’était pas son meilleur ami. Cette seule personne était en réalité Victorine. Confidents à la vie, à la mort, telle était la recette de leur amitié. Bien qu’elle ne voit, elle, pas d’un bon œil l’amitié étrange qu’il entretenait avec Jax, elle ne disait rien. Rien qui puisse le fâcher. Rien qui puisse la fâcher. Rien qui puisse les fâcher. Il tenait à elle. C’était omme une petite sœur en réalité. Personne ne connaissait en réalité son cœur tendre. Car même s’il était odieux, vil, cruel et sans pitié, Knox était surtout quelqu’un qui, quand on le connaît quelque peu, avait un cœur avec ceux qui le méritaient. Et Victorine devait être la première personne de ce tableau d’honneur si prestigieux aux yeux du Serpentard. Mais personne ne savait vraiment qui était le vrai Knox. Personne ne connaissait vraiment sa personnalité, ses talents, ses faiblesses. Personne ne savait vraiment son passé. Il n’en avait parlé qu’à une personne de confiance. Car bien que Jax soit quelqu’un qu’il appréciait avec une grande fierté, il ne lui faisait pas totalement confiance. Car même si Jax s’était trouvé être un ami loyal et serviable, il lui arrivait souvent de commettre des bourdes. Fréquemment. Jax n’était pas le genre de personnes à se taire sans agir. Et c’était ce qui agaçait le plus Knox. Jax ne savait pas la fermer, comme il aimait le dire. Et d’ailleurs Jax était surtout une vraie pipelette. Incapable de tenir sa langue. Et c’était là la différence avec Victorine. Car Victorine savait se taire et ne rien dire. Elle le lui avait juré. Et si par mégarde elle avait ouvert ne serait-ce qu’un petit peu la bouche alors, il le saurait. Il le saurait car à personne, non personne, il n’avait dévoilé son passé plus que lourd et affreux. Si elle avait ouvert la bouche alors il lui en voudrait. Il le lui avait dit avant de lui avouer son passé. Si elle ouvrait la bouche, il ne lui pardonnerai pas car pour lui, son passé encore plus que ses autres secrets, c’était quelque chose de fondamental que garder une part de mystère autour de lui. Comme un espèce de Halo protecteur, comme les anges. Hormis le fait qu’il soit peut-être le double incarné de Satan, ceci était à peu prêt la bonne caricature du passé et des secrets de Knox. Mais il espérait au moins avoir révélé ses plus terribles secrets à la bonne personne.

    Quand Knox déposa la plume sur le bureau de bois frais, il se sentit soulagé. Après chaque passage sur son journal, un sentiment de soulagement se faisait souvent, voir tout le temps, sentir. Il avait évacué la frustration et la haine qu’il éprouvait et c’était bien mieux comme ça. Il en était fier, encore plus à chaque fois. Il aimait écrire. Encore une passion insoupçonnée par ses camarades. Quand on y réfléchissait bien, personne ne le connaissait en fait. Il ne se connaissait pas lui-même. Car il ne savait pas au fond de lui, s’il devait éprouver haine, amour, regrets, passion. C’était quelque chose qu’il n’avait pas encore appris de la vie et il ne l’apprendrait sans doute pas de sitôt. Il se leva, poussant la chaise de bois rembourrée qui le supportais. Puis il alla à la fenêtre. C’était le noir complet. C’était d’ailleurs normal. La salle commune des Serpentards se trouvait en sous-sols et donc sous le niveau de la terre. En réalité les fenêtre étaient scellées pour éviter le passage de l’eau puisque lesdites fenêtres donnaient accès de vue au lac noir, repère de créatures tels que les sirènes. Son regard s’attarda sur un des éléments du tableau grotesque puis il détacha son regard. Il revint à sa place, sans s’asseoir, rangea le matériel d’écriture puis ferma son journal. Après quelques minutes il était déjà allongé sur son lit. Il n’avait rien à faire en ces moments-là, après avoir écrit dans son journal. Alors il réfléchit, les yeux fermés. Que faire ? Poudlard était si ennuyeux certaines fois. Il détestait rester là, à ne rien faire. Il détestait ça car il n’aimait pas rester enfermé. C’était quelque chose qui l’insupportait mais il faisait avec. Knox regardait avec mécontentement le plafond de sa chambre. Il ne trouvait que faire. Cela l’énervait au plus haut point. Il détestait ne rien pouvoir faire, surtout quand il n’y avait pas cours. Après encore de longues minutes, où il admira encore ce satané plafond, il se décida à se bouger. Il commencerait par sortir, ce serait un bon début. Oui. Ce serait un excellent début. Pour une fois il ne prendrait rien sur lui hormis sa baguette. Sa baguette. Un objet qui lui avait fait délier bien des langues. C’était un peu comme son objet précieux par excellence, avec quelques tatouages et surtout sa bague de dix-neuf carras, que sa mère lui avait offert, juste avant de pousser son dernier soupir. Elle appartenait depuis de générations à sa famille et il l’aimait beaucoup. Il ne s’en séparait jamais ou presque. Il aimit beaucoup ces deux objets et, même si sa baguette, il ne l’utilisait pas tout le temps, s’en séparer aurait été un déchirement. Mais pour le moment, il prenait juste le soin de ranger ce que certains appelaient un « vulgaire bout de bois » dans sa poche. Il prit aussi son fidèle paquet de cigarette puis enfila une veste de cuir, veste qu’il adorait aussi. Knox était le genre à avoir beaucoup d’objets fétiches en réalité. Il trouvait ses objets soit précieux à un point sentimental, soit précieux du niveau de leur valeur unitaire.

    Après quelques minutes, où il avait monté des escaliers, puis descendit des pentes, Knox arrivait enfin dans le parc de Poudlard. Immense étendue d’herbe vert qu’il aimait tout de même beaucoup. Il aimait, l’été au moins, se prélasser, des heures durant, dans l’herbe fraîche. Mais passons. Il s’avança puis regard autour de lui. Il n’y voyait personne. Mais il n’avait ni amené de bouquin ni rien qui puisse le distraire. A sa gauche, il trouvait la fôret interdite. Un endroit particulier où il aimait s’amuser à effrayer les jeune élèves, encore vierges pour la plupart. En quelques minutes il était déjà là, pénétrant dans les bois de la peur, sans frayeur aucune. Il allait encore s’avancer. Mais un bruit retint son attention. Un bruit de pas. Il se dirigea donc dans le sens opposé, se cachant comme un vulgaire gosse, derrière un arbre. La personne qui vient au point qu’il s’apprêtait à franchir plutôt ne fut pas celle qu’il s’attendait. Il avait d’abord pensé à un garçon. Un mec. Quelqu’un de banal. Un vulgaire première année ou quelque chose dont la banalité était de la sorte. Mais non. Il se retrouva à regarder amèrement une vulgaire fille qui, visiblement, n’avait pas l’air d’être consciente ou quelque chose de cet acabit. Il regarda quelques secondes, environ une bonne cinquantaine, l’être, comme si elle était inhumaine. Mais après ce court instant d’intense visionnement, il s’avança, se découvrant, vers la jeune fille. Instinctivement un sourire macabre vint se glisser sur ses joues comme s’il s’apprêtait à commettre quelque chose, une action, de joyeux. Visiblement la jeune fille avait d’excellentes oreilles. Puisqu’à la seconde où Knox était sorti de sa cachette, elle avait tourné joyeusement la tête, telle une vulgaire gamine. Quand elle vit Knox, le sourire, qui s’était attaché à ses lèvres trois secondes plus tôt, s’effaça en un clin d’œil. Visiblement elle n’avait pas l’air de s’attendre à quelqu’un comme lui. Mais le sourire de Knox avait aussi disparut quand il avait découvert le sujet. Une fille certes. Mais pas n’importe laquelle. Sycée Hope. Disons que Knox et elle c’est comme chien et chat, comme le noir et le blanc, comme le clair et l’obscur. Ils n’étaient pas faits pour se rencontrer. Ils se sont rencontrés et ça a viré au massacre. Un peu plus et la troisième guerre mondiale était à annoncer. Mais heureusement cela ne s’est pas fait. Heureusement peut-être pas. Au moins Knox n’aurait à supporter cette vision. Mais malheureusement la troisième guerre mondiale ne serait pas pour aujourd’hui - ni pour un autre jour d’ailleurs. Knox toisa la jeune fille d’un air suspect. Elle avait l’air un peu dans les nuages ou je ne sais quelle fantaisie du genre. Comme une vulgaire enfant.

    « Tu croyais voir apparaître un éléphant rose Hope ? », demanda-t-il, d’un ton plus que sarcastique. Il aimait jouer avec ses victimes et celle-ci serait sûrement à la hauteur. Cela l’amusait au plus haut point. Il passait donc désormais du névrosé au métamorphosé. Il aimait à changer d’humeur comme cela. Et cette fille là serait apte à le faire changer d’humeur en un clin d’œil. « Aurais-tu perdu l’usage de la parole ? », continua-t-il dans sa lancée. Il aimait beaucoup jouer avec cette fille. Naïve. Elle l’était tellement en réalité. Et elle ne se rendrait sûrement pas compte qu’il la mènerait en bateau. Mais c’était bénéfique pour Knox ceci.

    HJ : minaaaable 03
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Don't bring memories back. | Knox. Vide
MessageSujet: Re: Don't bring memories back. | Knox.   Don't bring memories back. | Knox. EmptyMar 3 Nov - 6:41

    Toute seule dans la fôret interdite, la serdaigle se retrouvait avec elle-même et les monstres inconnus. Néanmoins, elle était venue ici dans un but plus que précis. La peur. Comment savoir si l’on parvient sincèrement à vivre si l’on ne ressent jamais ce sentiment. Il fait partit d’une vie autant que toutes les autres sensations qui peuvent parcourir votre corps dans une vie. Au même titre que la colère, ce genre de sentiment permettait à notre niveau cardiaque de s’affoler jusqu’à ce que l’hôte décide de se calmer pour faire cesser ses palpitations. Pour la bleu et bronze, ce genre de sensation lui arrivait au moins un bon 10 heures par jour, alors qu’elle côtoyait des centaines de garçons. C’était rendue une habitude pour elle, ses fuites, l’évitement et les moments de pure extase était lorsqu’elle n’en avait aucun en vue. Elle avait apprit à vivre avec cette sensation, car c’était elle-même qui choisissait de ses actes et de ses réels sentiments. Plusieurs personnes disent que pour ne plus être terrifié par une chose, il faut l’affronter. Pour Sycée, se serait probablement la meilleure façon de régler son problème, mais elle ne voyait pas qui elle pouvait affronter tout bonnement. Le plus étrange était qu’elle côtoyait des garçons, ses amis ou bien Zeph, sans qu’il n’y aille quelque chose de travers et de sueurs froides. Il faudrait que quelqu’un prenne le flambeau de la situation pour lui enlever cette phobie ridicule. Jamais elle ne saurait qui serait cette future personne, il faudrait qu’il ailler creuser très loin dans le cœur de la belle pour parvenir à ses fins. C’était comme une course sans fin, un projet qui serait plus difficile que monter l’Himalaya mais tellement plus jouissif et important à la fois. Quelqu’un devrait écrire les lignes pour qu’elle puisse les lire, pour qu’elle puisse enfin comprendre tout ce qui arrivait. Son livre était fermé à clé, clé qui était perdue on ne sait encore où.

    La bleu et bronze pouvait facilement se retrouver dans les situations les plus terrifiantes pour les gens normaux et ne ressentir aucune crainte valable. Comme la fois où elle était venue à la rescousse de son ami & ex petit-ami Jonah Starks, alors qu’ils étaient tous deux dans un black out total dans les cachots humides et puant. Rien ne semblait pouvoir l’ébranler lorsqu’on la prenait dans une telle situation, à la limite d’être recueillit chez les lions. Courageuse probablement 24h sur 24 s’il ne s’était jamais rien passé avec cet enfoiré d’Américain. Elle a toujours été timide, ça il n’y avait aucun doute là-dessus, mais jamais elle n’avait eut aussi peur de ne pas approcher la gente masculine que ses deux dernières années. Avec le temps, elle aurait pût devenir amies avec des garçons que jamais elle ne croyait fréquenter, elle aurait même pût trouver un terrain d’entente avec les personnes comme Jax ou Knox pour qu’ils la laissent en paix. Malheureusement, rien de tout cela ne se produira avant on ne sait combien de temps. C’était triste quand on y pensait car après tout la bleu & bronze avait plus d’un talent et avait le mérite d’être une excellente amie. Quoiqu’il en soit, il ne lui en fallait pas beaucoup pour qu’elle puisse se sentir à l’aise dans un monde aussi étrange que l’était la forêt interdite. Après tout, elle avait moins peur de se retrouver face à un troll qu’à un homme en cet instant précis. Pour eux, ces créatures étaient seulement des êtres mal compris qui ne demandaient qu’à se trouver une petite place à découvert.

    Sycée croyait vraiment avoir mis la main sur quelque chose d’intéressant. Elle avait entendu du bruit un peu vers la droite et s’était avec ferveur qu’elle avait tournée la tête, dans l’espérance de rencontrer quelque chose comme un centaure par exemple. Hélas, c’était une créature bien plus terrible que toutes. L’homme, l’homme qui était probablement le plus dangereux dans le haut de la liste des « bullies » de la serdaigle. Le maître marionnettiste qui avançait désormais vers elle avec un sourire plus que machiavélique. Il avait quelque chose d’étrange, ce serpentard à ne jamais avoir un sincère sourire accroché aux lèvres se disait-elle. La brune aurait pût croire à un songe, à un cauchemar vivant qui lui faisait croire que sa plus grande crainte se trouvait devant elle. Malheureusement, à toutes les fois qu’elle espérait s’éveiller dans ses rencontres avec les hommes, elle finissait toujours par devoir les affronter. Après tout, il s’agissait peut-être d’un réel cauchemar, celui ou ‘enfuir était inenvisageable puisqu’elle ne ferait que courir sur place alors que le monstre approchait. C’est d’ailleurs ce que Knox fit, s’arrêtant à une distance acceptable et la jaugeant de haut, comme il le faisait si bien.


      LUI «Tu croyais voir apparaître un éléphant rose Hope ? »


    Il était vil. Toujours à rechercher maintes paroles pour arriver à faire sentir la serdaigle le plus minablement possible. Si la pauvre était timide et naïve de nature, prête à croire n’importe qui et n’importe quoi, elle n’était néanmoins pas conne. Attendez, quand on y pensait vraiment, peut-être que la seule façon qui illuminerait la flammèche de la brune serait par ce genre de provocations. Je veux dire, à force de sarcasmes, elle finira par déceler au moins un peu quand la personne qui se trouve devant elle est en train de se jouer d’elle non? Peut-être bien, mais une telle chose prendrait probablement encore un temps fou. Déjà, elle devrait commencer par se rendre compte que les filles comme Maxyne & Kimber se jouaient d’elles avant de voir que des hommes pouvaient en tirer autant d’elle. D’autant plus que son intelligence semblait cachée derrière ses airs de jeunes filles qui souhaitaient tant être à la hauteur de tout le monde. Ne jamais avoir de paroles de travers pour les inconnus, toujours un sourire accroché aux lèvres, fidèle au poste, mais surtout avec un positivisme éternel. Du moins, pour la partie d’elle qu’elle ne montrait pas; le fait qu’elle ne voulait toujours pas guérir de son viol. Il lui permettait de se rendre compte qu’elle n’était pas parfaite. Que la Sycée que tout le monde croyait si fragile et idiote avait enfin une réelle raison qui en ferait ravaler leur parole à plus d’un. Ça ne le ferait pas, qu’elle se mette tout bonnement à demander à Knox d’arrêter d’être sur son dos. Elle lui servirait un : « j’ai été violée, okay? C’est pour ça que je vous évite, que tu peux tant me faire peur et arriver à me piétiner de la sorte. » Non, vraiment, ça ne le ferait pas. Il faut néanmoins en revenir à la réalité. Celle qui était toujours plus cruelle que les rêves de lapins de la princesse. Assise sur son rocher, elle s’était crue invincible, aucune bêtes n’auraient pût l’atteindre, surtout pas avec la baguette qui séjournait dans la poche de son cardigan et grâce à sa mémoire phénoménale tant qu’aux sorts de protection. Pourtant, il ne lui suffisait que d’une âme portant le chromosome XY pour arriver à la faire flancher, la faire tomber de son pied de combative. Elle évitait toujours le regard pénétrant du serpent qui attendait vraisemblalement une réponse de sa part. Non mais il croyait quoi, qu’elle allait lui répondre, après une attaque aussi ouverte que cela? Et puis que pourrait-elle lui répondre, qu’elle attendait quelque chose de plus gros, mais de certainement moins terrifiant que lui. Il ne ferait qu’en rire encore plus. C’est donc ainsi que le serdaigle décida de faire table rase en restant muette. Il finirait par partir de toute façon, Knox ne s’attardait jamais près de Sycée, ils étaient comme le feu et l’eau, ils ne tenaient pas ensemble sans faire mourir l’un d’eux; vous aurez comprit que c’était toujours la jeune femme qui périssait dans une telle métaphore. Imprévisible. Comme les bêtes les plus fourbes, c’était ainsi que les hommes l’étaient. Comment aurait-elle pût croire qu’elle aurait pût s’en sortir aussi facilement?

      LUI « Aurais-tu perdu l’usage de la parole? »


    Sycée frissona, plus de peur que de froid devant une question relativement simple pour une fois. Pourtant, tout le monde savait très bien que ces paroles cachaient mille et un vices dans lequel il l’entraînerait dans les abysses aussi vite que dire Nox! Encore une fois, elle était aux prises avec l’ennemi. L’ennemi qui finalement n’était que vrai selon l’avis des personnes qui se trouvaient devant elle. Car si ceux-ci voulaient la voir pleurer de douleur, jamais la princesse Sissi ne souhaiterait de malheur à ces gens qu’elle ne connaissait rien. Qui était-elle pour juger autrui? Personne, personne sauf la fille qui recevait tous les coups, la jumelle de son meilleur ami Brahams, qui formait le couple parfait de martyrisés de l’école toute entière. La serdaigle releva un peu la tête, simplement pour dire qu’elle ne regardait plus cette araignée qui commençait à s’approcher d’elle sur le rocher. Elle ne le regarderait pas, non seulement elle n’en avait pas la force mais elle n’avait pas envie de le provoquer davantage. Pas dans un endroit pareil où ils pourraient facilement être attaqués. Avec quelqu’un à ses côtés elle était moins alerte, et c’était dangereux pour eux deux.

      ELLE « Bonsoir, Knox. Je ne sais pas de quoi tu parles, il n’y a pas d’éléphants roses dans la forêt. À mes connaissances en tout cas, qui sait ce qui peut se cacher derrière les arbres.»


    Ses paroles étaient à la fois sensée et complètement confuses. Elle savait qu’elle n’était pas à cent pour cent cohérente et c’est pourquoi elle devait changer de sujet. Car si elle se trouvait dans cette forêt dans un but précis, Knox aussi devait en avoir une et se serait la moindre des politesses de lui demander ce genre de choses. Pourtant, un éclair lui traversa l‘esprit. Il y avait quelque chose qui n’allait pas. Un souvenir qui n’avait pas été assez remarqué par la brune alors qu’il se révélait être d’une importance capitale. Victorine. Son amie avait quelque chose à voir avec ça mais elle ne savait plus quoi. Pour se prévaloir du temps, elle décida d’y aller avec sa futile demande, le temps de trouver ce qui lui échappait.

      ELLE « Est-ce trop indiscret de ma part de te demander pourquoi tu es dans la forêt interdite cette nuit?»




HJ : Ouais bah à côté de toi mes postes sont toujours plus pourris alors enfonce pas le couteau en disant que ton super RP est minable, mdr. (a)
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